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Title: La place du MGIT dans le diagnostic de la tuberculose
Authors: Boudriche, Rania Yasmine
Boukelkoul, Chahinez
Encadré par : Pr. Semra Zahia
Keywords: MGIT
tuberculose
diagnostic
Mycobacteriumtuberculosis
méthodes classiques
Issue Date: 2021
Publisher: Université Constantine 3 Salah Boubnider, Faculté de médecine
Abstract: Introduction : La tuberculose est une maladie infectieuse à transmission interhumaine due à Mycobacterium tuberculosis, il s’agit encore d’un problème de santé publique majeur dans le monde. Durant ces dernières années, il existe un changement du profil épidémiologique de la tuberculose avec augmentation de la tuberculose extra pulmonaire. Le diagnostic de tuberculose repose sur des arguments cliniques et radiologiques mais la confirmation est obligatoirement bactériologique et/ou histologique.La culture reste le gold standard. Le progrès technologique surtout en matière de biologie moléculaire met à disposition actuellement du clinicien de nouveaux moyens de diagnostic de tuberculose. Matériel et méthodes : Il s’agit d’une étude qui a été réalisée au sein du CHU de Constantine durant la période du 03 janvier 2021 au 15 août 2021. L’étude en question a portée sur 162 prélèvements effectués sur des patientshospitalisés et en ambulatoire suspectés d’être atteints de tuberculose dont 88 étaient des femmes et 74 des hommes. 74 des échantillons étaient de nature pulmonaire et 88 de nature extra pulmonaire. Ces derniers ont été soumis aux deux types de diagnosticpour mettre en évidence l’intérêt de la méthode MGIT dans le diagnostic de la tuberculose par rapport aux autres méthodes de bactériologie classique. Résultat : Sur nos 88 échantillons extra pulmonaires étudiés 32 (36.36%) étaient positifs pour les mycobactéries dont 13 positifs au frottis (40.62%) et 14 négatifs au frottis (43.75%) et le reste des 60 échantillons étaient négatifs au frottis. Parmi les 32 échantillons positifs (27/32), 84.37% étaient positifs sur milieu LJ et (55/56) 98.21% étaient négatifs sur LJ par contre le MGIT représentait (30/32) 93.75% du taux de positivité et (52/56) 92.85% du taux de négativité donc le MGIT à lui seul a détecté 18 échantillons positifs non détectés par le frottis et 4 non détectés par la culture sur milieu LJ. Conclusion : cette étude montre que la méthode MGIT est plus performante que les méthodes classiques et permet de gagner beaucoup plus de temps.
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