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Title: L’HYPERTENSION ARTERIELLE ET LE POLYMORPHINE I /D DU GENE DE l’ACE
Authors: Bouchekrit, Asma
Benahcene, Salima
Encadré par :Pr Sifi Karima
Keywords: HTA, Enzyme ACE, Gène ACE, Polymorphisme ID
Issue Date: 2020
Publisher: Universite Constantine3 Salah Boubnidere, Fculté de médecine
Abstract: L'ACE, une enzyme clé du système rénine-angiotensine maintient l'homéostasie de la pression artérielle dans notre corps. L'association du polymorphisme I/D de l'ACE avec l'hypertension essentielle a été démontrée par de nombreuses études. Les objectifs de la présente étude étaient de : -Déterminer les fréquences génotypiques et alléliques du polymorphisme ID de l’ACE chez des témoins et chez des patients présentant une HTA. -D’évaluer la relation entre ce polymorphisme et le risque de survenu d’HTA. Patients et méthodes Notre étude a porté sur 114 témoins et 47 patients présentant une HTA. La recherche du polymorphisme I/D du gène de l’ACE a été réalisée par une simple PCR suivie d’une séparation des produits de PCR par une électrophorèse sur gel d’agarose. Résultats Notre étude a porté sur 114 témoins répartis en 67 (58,77%) hommes et 47 (41,23%) femmes, avec un sexe ratio H/F de 1.42 et un âge moyen de 42.97 ± 16,70 ans. Et 44 patients répartis en 16 (36,36%) hommes et 28 (63,63%) femmes avec un sexe ratio H/F de 0,57 et un âge moyen de de 63 ans. La répartition des témoins et des patients par tranches d’âge a montré une fréquence élevé des classes d’âge 50-59 ans et 60-69 ans respectivement La répartition des patients selon l’IMC a montré que plus des deux tiers de nos patients possèdent un IMC entre 25 et 35 Kg/m2. Et que seulement 3% sont obèses. 48.27% de malades ont une des antécédents familiaux d’HTA. Les hypertendus diabétiques ont représenté 45.45%, les cardiopathies 22.72% et presque le même pourcentage ont présenté un trouble hormonal. Nos résultats ont montré que le génotype homozygote DD est dominant avec une fréquence de 72.73%, suivie du génotype hétérozygote ID avec un taux de 25 % puis du génotype II avec un pourcentage de 2.27%. Les fréquences des allèles D et I étaient de 85.23 % et 114.77 % respectivement. Les patients présentant le génotype DD vs II+ID ont un risque multiplié par 40.76 fois (OR IC (13.48- 1.29.77) p=0.00000000 très significative plus élevé de développer une HTA par rapport au génotype II. Et que Les patients présentant l’allèle D sont 12.25 fois (6.14- 24.85) p=0.0000000 et le génotype II est susceptible d’être protecteur (II VS DD = 0.00 (0.00 – 0.03) p=0.0000000 de la survenue d’une HTA. Conclusion Nos résultats sont en accord avec de nombreuses données de la littérature.
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