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dc.contributor.authorTibourtine, Lidia Lilia-
dc.contributor.authorBouras, Abdelhalim-
dc.contributor.authorEncadré par : Dr LAOUAR NARRIMAN-
dc.date.accessioned2023-02-20T09:53:51Z-
dc.date.available2023-02-20T09:53:51Z-
dc.date.issued2020-
dc.identifier.urihttp://localhost:8080/xmlui/handle/123456789/1452-
dc.description.abstractLe trastuzumab est un anticorps monoclonal ciblant le domaine extracellulaire de l'oncoprotéine HER2, qui a révolutionné la prise en charge du cancer du sein à toutes les phases de la maladie. Son utilisation en adjuvant et en néo-adjuvant est un standard international. Sa potentielle toxicité cardiaque, est expliquée en partie par le rôle que joue le complexe neuréguline1/HER2 dans la réponse du myocarde aux stress physiologiques; et impose, par conséquent l’application d’un monitoring systématique de la fraction d’éjection ventriculaire gauche (FEV) avant, pendant et après le traitement. Notre travail a pour objectif de revoir les données de la littérature sur la tolérance cardiaque du trastuzumab en adjuvant et en néo-adjuvant chez des patientes ayant un cancer du sein HER2+, à partir des principaux essais internationaux. Dans les différentes études, le trastuzumab était responsable d’une cardiotoxicité asymptomatique, défini par une baisse de la FEVG de plus de 10%, dans 4.1 à 27% des cas, et d’une cardiotoxicité symptomatique dans 2% des cas; la durée d’exposition au trastuzumab semblait augmenter le risque de développer cette toxicité. L’évaluation systématique de la fonction cardiaque dans ces études avait permis de mieux comprendre la nature de cette complication, qui apparaissait sous forme d’une dysfonction ventriculaire gauche, le plus souvent asymptomatique et réversible chez la majorité des patients. En plus du monitoring cardiaque régulier, une meilleure connaissance des facteurs de risque, et des mesures préventives pourraient réduire d’avantage l’incidence de cette toxicité. En conclusion, les essais cliniques avaient montré que la cardiotoxicité induite par le trastuzumab était généralement asymptomatique, réversible et gérable, sous réserve d’une surveillance cardiaque systématique et régulière avant, pendant et après fin du traitement. Ces études cliniques avaient été étalées sur une grande période de suivi avec un grand nombre de patientes, ce qui avait abouti à des résultats concluants.en_US
dc.language.isofren_US
dc.publisherUniversité Constantine 3 Salah Boubnider, Faculté de médecineen_US
dc.subjectcancer du seinen_US
dc.subjectHER2-positifen_US
dc.subjectTrastuzumaben_US
dc.subjecttolérance cardiaqueen_US
dc.titleEvaluation de la toxicité cardiaque du Trastuzumab dans le cancer du sein non métastatiqueen_US
dc.typeOtheren_US
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