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http://localhost:8080/xmlui/handle/123456789/2670
Full metadata record
DC Field | Value | Language |
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dc.contributor.author | Mezoued, Sihem | - |
dc.contributor.author | Djemame, Amina | - |
dc.contributor.author | Hadjeb, Riyad | - |
dc.contributor.author | Brahim Ladouani, Haizia | - |
dc.contributor.author | Encadré par: Pr. Khider Amina | - |
dc.date.accessioned | 2023-03-26T11:59:58Z | - |
dc.date.available | 2023-03-26T11:59:58Z | - |
dc.date.issued | 2018 | - |
dc.identifier.uri | http://localhost:8080/xmlui/handle/123456789/2670 | - |
dc.description | MPH18/006 | en_US |
dc.description.abstract | Résumé : L’infection urinaire est une des plus fréquentes infections bactériennes en milieu extra hospitalier. L’augmentation de la résistance aux antibiotiques des bactéries uropathogènes est un phénomène préoccupant mondial. A ce titre, nous avons entrepris une étude descriptive rétrospective, sur un an, du 01/01/2017 au 31/12/2017, réalisé au niveau du laboratoire de microbiologie du centre hospitalouniversitaire Ibn Badis de Constantine (CHUC), qui visait à déterminer la fréquence des bactéries responsables d’IUC, et d’établir leur profil de résistance aux différents antibiotiques couramment utilisés. Note étude a concerné 423 antibiogrammes de souches bactériennes issues d’ECBU de patients traités en ambulatoire dont la moyenne d’âge était de 45,58 ans avec un sexe-ratio F/H de 2,99. L'étude bactériologique a révélé que, les BGN étaient les agents pathogènes causals majoritaires des FUC (92.43%), avec une prédominance nette des entérobactéries (95.65%), l’E.coli représentait seule 69.03%, suivi par Klebsiella spp (11.35%). La fréquence de la résistance globale des entérobactéries vis-à-vis des pénicillines et des céphalosporines de première génération était élevée. Cependant les céphalosporines de troisième génération, les Fluoroquinolones et la Fosfomycine ont conservé une bonne activité. En effet, pour E.coli, la résistance au Cefotaxime était de 18.18%, à la Ciprofloxacine de 28.74%, à la Fosfomycine de 1.91% et à la Nitrofurantoine de 05.50%. Par contre la résistance au cotrimoxazole était de 41.70%. Les phénotypes de résistance aux B-lactamines des enterobactéries isolées étaient, les pénicillinases de haut niveau PHN (25.13%), les pénicillinases TEM résistantes aux inhibiteurs TRI (17.31%) et les béta-lactamases à spectre étendu BLSE (18.71%). & La multi-résistance des bactéries uropathogènes en communautaire suggérent la nécessité de la gestion de la prescription des antibiotiques, tout en adaptant Pantibiothérapie à Pantibiogramme demandé systématiquement chez tout patient présentant une infection urinaire. | en_US |
dc.language.iso | fr | en_US |
dc.publisher | Université Constantine 3 Salah Boubnider, Faculté de Medecine | en_US |
dc.subject | Infection urinaire communautaire, , . | en_US |
dc.subject | Bactéries uropathogènes | en_US |
dc.subject | Résistance aux antibiotiques | en_US |
dc.title | Résistance aux antibiotiques des germes responsables de l’infection urinaire communautaire | en_US |
dc.type | Other | en_US |
Appears in Collections: | Mémoires en Pharmacie / مذكرات في الصيدلة |
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MPH 18-06.pdf | MPH18/006 | 4.44 MB | Adobe PDF | View/Open |
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