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dc.contributor.authorZaghou, Hayat-
dc.contributor.authorDjouani, Khaoula-
dc.contributor.authorBounechada, Yousra-
dc.contributor.authorEncadre par: Pr. Khelifa. F-
dc.date.accessioned2023-04-03T11:24:55Z-
dc.date.available2023-04-03T11:24:55Z-
dc.date.issued2017-
dc.identifier.urihttp://localhost:8080/xmlui/handle/123456789/2869-
dc.descriptionMPH17/006en_US
dc.description.abstractLes IgM sont des immunoglobulines importantes dans le diagnostic sérologique puisqu’elies nous permettent de déceler une primo-infection ou une infection aigue, comme c’est le cas pour la rubéole et l’hépatite virale B . Cependant, il arrive que dans certains cas ces IgM soient faussement positives induisant ainsi parfois en erreur les praticiens, nous l’observons dans les 2 cas cliniques que nous présentons, l’un de rubéole, l’autre d’hépatite virale B. Cette mauvaise interprétation peut avoir des conséquences graves puisque des avortements abusifs peuvent être proposés dans le cas de la rubéole et des retards au traitement contre le virus de l’hépatite B peut engendrer des complications graves, voire la mort. Pour cela une collaboration étroite doit être établie entre les praticiens et les biologistes.en_US
dc.language.isofren_US
dc.publisherUniversité Constantine 3 Salah Boubnider,faculté de Médecineen_US
dc.subjectIgMen_US
dc.subjectPrimo-infectionen_US
dc.subjectRubéoleen_US
dc.subjectHépatite virale Ben_US
dc.titleLors d’une infection virale la présence d’IgM n’est pas toujours la preuve d’une primo-infectionen_US
dc.typeOtheren_US
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