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dc.contributor.authorSaidi, Tahar-
dc.contributor.authorSahnoune, Tayeb-
dc.date.accessioned2023-02-09T08:00:47Z-
dc.date.available2023-02-09T08:00:47Z-
dc.date.issued2020-
dc.identifier.citationUniversité Constantine 3 Salah Boubnider, Faculté d’architecture et d’urbanismeen_US
dc.identifier.urihttp://localhost:8080/xmlui/handle/123456789/312-
dc.description.abstractToute notre réflexion a été générée par le constat relatif à l’évolution de l’urbanisation parallèle à l’urbanisation formelle. Cette dernière est un phénomène très hétérogène recouvrant des réalités tout à fait différentes selon les pays avec une absence d’un cadre standardisé d’où une lacune conceptuelle. D’ailleurs, une nuée de concepts sont utilisés par les différents chercheurs. D’une part, des termes de précarité : bidonville, taudis, précaire faisant référence à son cadre bâti avec des matériaux hétéroclites de récupération et sa localisation correspond en général à des terrains étatiques par squat ou à des propriétés males définies à l’exemple des décharges publiques, oueds, carrières. D’autre part, on est devant une urbanisation qu’on qualifie d’illicite, de spontanée, de sous-intégrée, d’illégale, de marginale ou d’informelle. Leur localisation correspond à des terrains privés et leur cadre bâti s’intègre à celui développé par le formel. L’infarctus se situe dans le transfert du foncier du propriétaire vers l’acquéreur qui est considérée illégale. D’autres termes sont utilisés dans des pays: irrégulier, favelas, slums, barrios, barriados, invasaos, ashwaiyyat, bidûn takhtît. Cette situation rend compte de la complexité des différentes formes que revêt une pratique dont le poids est considérable dans la fabrication de la ville. Cette urbanisation informelle a connu de profondes mutations qui peuvent se résumer en un passage d’un état de marginalisation, à celui de l’insertion, puis à celui de la spécialisation et la diversification des fonctions. L’urbanisation informelle en Algérie a connu une véritable explosion avec une intégration complète à la ville et s’impose de nos jours par des centralités informelles commerciales et une symbolique que nous avons essayé de vérifier à travers trois villes : Constantine la métropole, Batna la grande ville et Guelma la ville de taille moyenne. Le choix de cette thématique suscite l’intéressement dans la mesure où dans sa formulation, on dénote à priori un paradoxe : Est associée la notion de centralité à une urbanisation informelle.en_US
dc.language.isofren_US
dc.subjectSymboliqueen_US
dc.subjectConstantineen_US
dc.subjectInformelen_US
dc.subjectCentralitéen_US
dc.subjectFormelen_US
dc.subjectGuelmaen_US
dc.subjectCentreen_US
dc.subjectBatnaen_US
dc.titleCentralité et symbolique dans les quartiers informelsen_US
dc.title.alternativecas de Constantine - Guelma – Batnaen_US
dc.typeThesisen_US
Appears in Collections:Architecture et Urbanisme/ هندسة معمارية وتعمير

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