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dc.contributor.authorBouguebs, Amina-
dc.contributor.authorChiouch, Sofiane-
dc.date.accessioned2023-04-27T07:22:02Z-
dc.date.available2023-04-27T07:22:02Z-
dc.date.issued2022-
dc.identifier.urihttp://localhost:8080/xmlui/handle/123456789/3248-
dc.description.abstractL’anesthésie locorégionale (ALR) pédiatrique est en évolution continue, surtout par l’introduction de l’échographie qui prend actuellement une place de plus en plus importante en anesthésie réanimation. L’échographie permet de faciliter le geste tout en diminuant, le temps de sa réalisation et la dose de l’anesthésique local nécessaire, ce qui permet d’améliorer l’efficacité et la sécurité du geste. L’objectif principal de cette étude prospective est de comparer l’analgésie per et post opératoire obtenue par le BIIH sous contrôle échographique et l’anesthésie caudale pour la chirurgie du canal inguinal chez l’enfant. Matériels et méthodes Il s’agit d’une étude prospective, randomisée, comprenant 100 enfants âgés moins de 7 ans, de grade I ou II de la classification ASA programmés pour une chirurgie du canal inguinal unilatéral et répartis au hasard en deux groupes. Groupe AC en nombre de 50 enfants soumis à une anesthésie caudale en injection unique de 1 ml/kg de Bupivacaïne à 0,25% et le groupe BIIH en nombre de 50 enfants soumis à un bloc Ilioinguinal-Iliohypogastrique en injection unique de 0,1 ml/kg de Bupivacaïne à 0,25%. Les deux techniques sont réalisées sous sédation inhalatoire par du Sévoflurane. Les paramètres hémodynamiques (FC, PAS et PAD) et la fréquence respiratoire ont été relevés en peropératoire. En postopératoire tous les enfants ont reçu du paracétamol 15 mg/kg chaque 6 heures, une évaluation de l’analgésie par le score OPS chaque heure pendant les 4 premières heures postopératoires, les effets secondaires ont été notés. Les enfants ont été libérés 4 heures postopératoires, l’évaluation ainsi que la prise en charge de la douleur étaient achevées à domicile par les parents. Résultats Les deux techniques anesthésiques ont procuré une analgésie per et postopératoire de bonne qualité. Les accidents et incidents retrouvés dans cette étude étaient pour l’AC, la résistance à l’injection de l’AL (6%), et l’injection vasculaire (4%). En postopératoire la persistance du bloc moteur à la 5ème heure postopératoire a retardé la sortie d'un enfant (2%). Pour le BIIH, aucune complication n’a été notée et le taux de réussite était à 100 %. Conclusion Le BIIH est une technique simple et sure pour la chirurgie du canal inguinal unilatéral, surtout par l’apport de l’échographie qui a permis une meilleure sécurité grâce à la visibilité des structures anatomiques, la réduction du volume des anesthésiques locaux ainsi que l’amélioration du temps d’installation du bloc sensitif.en_US
dc.language.isofren_US
dc.publisherUniversité Constantine 3 Salah Boubnider, Faculté de médecineen_US
dc.subjectChirurgie du canal inguinalen_US
dc.subjectAnesthésie caudaleen_US
dc.subjectBloc ilioinguinal-iliohypogastriqueen_US
dc.subjectEchographieen_US
dc.subjectChirurgie ambulatoireen_US
dc.titleAnesthésie pour chirurgie inguinale chez l’enfanten_US
dc.title.alternativebloc ilioinguinal iliohypogastrique versus anesthésie caudaleen_US
dc.typeThesisen_US
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