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dc.contributor.authorAbes, Naouel-
dc.contributor.authorBenmohammed, Karima-
dc.date.accessioned2023-04-27T07:54:33Z-
dc.date.available2023-04-27T07:54:33Z-
dc.date.issued2022-
dc.identifier.urihttp://localhost:8080/xmlui/handle/123456789/3251-
dc.description.abstractIntroduction : L’hyperparathyroïdie primaire (HPTP) est une endocrinopathie fréquente venant au deuxième rang après les thyropathies. Elle se caractérise par une hypersécrétion autonome de l’hormone parathyroïdienne (PTH) pouvant être responsable au long court de conséquences graves en l’absence de traitement. Un adénome solitaire est le plus souvent en cause, et de ce fait la chirurgie quand elle est indiquée, peut être réalisée par un abord ciblé mini invasif permettant l’exérèse de la lésion en cause. L’objectif principal de notre étude est de démontrer l’intérêt de l’approche chirurgicale mini invasive dans la prise en charge des hyperparathyroïdies primaires. Patients et méthodes : Il s’agit d’une étude descriptive prospective, sur une durée de 30 mois, menée au niveau du centre hospitalo-universitaire de Constantine, visant à comparer deux groupes homogènes de patients opérés pour une HPTP. Le premier groupe opéré par parathyroïdectomie mini invasive à ciel ouvert (CMI), le deuxième par cervicotomie classique avec exploration des quatre glandes parathyroïdes (CC). Tous les patients avaient bénéficié en préopératoire d’un examen clinique, d’un bilan de localisation et de retentissement de l’HPTP. L’analyse statistique était faite par le logiciel SPSS 22. Résultats : Nous avons pris en charge 50 patients présentant une HPTP, l’âge moyen était de 52,74 ± 12,85 ans, (88% femmes, 12% hommes, sexe ratio H/F=0,14). Les circonstances de découverte étaient dominées par les douleurs osseuses (48%), La découverte était fortuite lors d’un bilan de routine dans 20% des cas et lors d'une crise aigue hypercalcémique dans 4% des cas. Le bilan biologique avait une hyperparathyroïdie (la moyenne de PTH était de 604,63±714,45pg/l) avec hypercalcémie chez la grande majorité des patients (90%) (moyenne de la calcémie était de 119,18±17,71mg/l) associé à un déficit en vitamine D noté chez 78% des patients. Tous les patients avaient bénéficié d’un bilan de localisation préopératoire fait d’une échographie cervicale qui avait objectivé la(les) glande(s) pathologique(s) dans 80% des cas, et d’une scintigraphie à la sestamibi qui avait montré la lésion parathyroïdienne dans 92% des cas, concordant avec l’échographie dans 78% des cas. Tous les malades avaient bénéficié d’un traitement chirurgical, dont 48% d’une (CC) et 52% d’une (CMI). Le dosage de la PTH peropératoire était réalisé pour tous les patients. En comparant les deux groupes CC versus CMI, nous avons retrouvé : un temps opératoire de 74,08 ± 32,72 min vs 29,77 ± 5,74 min, (pen_US
dc.language.isofren_US
dc.publisherUniversité Constantine 3 Salah Boubnider, Faculté de médecineen_US
dc.subjectHyperparathyroïdie primaireen_US
dc.subjectCervicotomie classiqueen_US
dc.subjectChirurgie minimale invasiveen_US
dc.subjectDosage per opératoire de la parathormoneen_US
dc.titleIntérêt de l’approche chirurgicale minimale invasive dans la prise en charge des hyperparathyroïdies primairesen_US
dc.typeThesisen_US
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