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dc.contributor.authorMoulai, Aissa-
dc.contributor.authorLaraba, Safia-
dc.date.accessioned2023-05-16T08:30:04Z-
dc.date.available2023-05-16T08:30:04Z-
dc.date.issued2017-
dc.identifier.urihttp://localhost:8080/xmlui/handle/123456789/3669-
dc.description.abstractIntroduction : La résorption radiculaire apicale externe (RRAE) est une conséquence iatrogène du traitement orthodontique et consiste en une perte de cément et dentine radiculaire, se manifestant radiologiquement par une diminution de la longueur radiculaire. Objectif : Estimer la prévalence de la résorption radiculaire apicale externe d’origine orthodontique, et étudier les facteurs de risque de cette pathologie. Matériel et méthode : Un total de 202 patients (144 femmes, 58 hommes) âgés de 6 à 41 ans, présentant différentes malocclusions qui avaient été traitées à l’aide d’appareils fixes ou amovibles, des radiographies panoramiques, ainsi que des radiographies périapicales des incisives au début, en cours et à la fin de traitement, ont été utilisées pour évaluer le degré de la résorption radiculaire, en se basant sur des scores de résorption de Levander et Malmgren. L’analyse statistique a été réalisée par le logiciel Epi info version 7. Le degré de significativité a été fixé à 0,05. Résultats : Les facteurs qui étaient associés de façon statistiquement significative au risque de survenue des RRAE étaient : l’allergie, la prise des antiinflammatoires, la proximité des sinus, les traumatismes, la béance, le surplomb important, la déglutition dysfonctionnelle, la canine ectopique, l’agénésie dentaire, la morphologie radiculaire, la forme de la chambre pulpaire, la nature du déplacement dentaire (égression, torque, ingression, rétraction, torque), l’amplitude du déplacement, et les extractions. L’âge, le sexe, l’asthme, les troubles de la croissance, les troubles hormonaux, la durée de traitement, le type de malocclusion, la supraclusie, les parafonctions, le bruxisme, l’inclusion canine, le type d’appareillage utilisé, la technique fixe multiattache utilisée, le port des élastiques intermaxillaires, n’étaient pas associés de façon statistiquement significative au risque de survenue des RRAE. Conclusion : Notre étude a révélé une prévalence de 70,30% dont 8,91% relevaient de résorptions sévères à extrêmes. Ces chiffres impressionnants nous alarment et nous interpellent, notre thérapie a besoin de toute notre attention et notre vigilance. Donc le rôle de l’orthodontiste reste crucial pour identifier les facteurs de risque, afin d’adapter la stratégie thérapeutique en fonction de ces facteurs.en_US
dc.language.isofren_US
dc.publisherUniversité Constantine 3 Salah Boubnider, Faculté de médecineen_US
dc.subjectRésorption radiculaireen_US
dc.subjectFacteurs de risqueen_US
dc.subjectTraitement orthodontiqueen_US
dc.subjectOstéoclasteen_US
dc.titleEstimation de la prévalence et étude des facteurs de risque de la résorption radiculaire apicale externe d’origine orthodontiqueen_US
dc.typeThesisen_US
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