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dc.contributor.authorKhider, Amina-
dc.contributor.authorAit kaki, Brahim-
dc.date.accessioned2023-10-03T09:41:36Z-
dc.date.available2023-10-03T09:41:36Z-
dc.date.issued2015-
dc.identifier.urihttp://localhost:8080/xmlui/handle/123456789/4606-
dc.descriptionVersion électronique indisponibleen_US
dc.description.abstractL'objectif principal de ce travail est de mettre en évidence la nécessité de réaliser un suivi virologique chez les patients traités pour hépatite chronique C. Les objectifs secondaires sont d'évaluer le taux de réponse au traitement, ainsi que d'identifier les génotypes du VHC les plus fréquents dans la région. Au total 63 patients traités au service d'hépatogastro- entérologie du CHU de Constantine, recrutés entre le 1 Janvier 2007 et le 13 Décembre 2013, ont été inclus dans l'étude. La moyenne d'âge des patients était de 55 ans, le sexe ratio de 0,75. Le principal facteur de risque de contamination était nosocomial: soins dentaires (42,86%) et chirurgie (36,50%), les co-morbidités les plus fréquentes étaient le diabète et l'HTA retrouvées chacun chez 25% des patients, 42,86% des patients avaient un taux d'ALAT normal et 28,85% étaient cirrhotiques. Les résultats du génotypage, ont révélés que le génotype I était le plus fréquent dans la région de Constantine (69,23%), avec une nette prédominance du sous-type 1b et que le genotype 2 était retrouvé dans 28,85% des cas. La détermination du génotype, a permis au clinicien d'instaurer un traitement de 24 semaines aux patients de génotype 2 et d'éviter une ponction biopsie hépatique inutile chez ces patients, selon les recommandations du consensus. Pour 11 patients chez qui le génotype n'a pas été déterminé, la durée du traitement a été de 48 semaines, certainement excessive pour certains d'entre eux. Le taux de réponse virologique soutenue (RVS) global était de 63,49%. La mesure de la charge virale au cours du traitement a permis l'optimisation thérapeutique chez 4 patients: (1) réduction de la durée du traitement chez 2 patients de génotype 2 ayant obtenu une RVR, leur évitant ainsi des effets secondaires qui parfois peuvent être sévères, (2) prolongation de la durée du traitement chez 2 patients de génotype 1 ayant obtenu une RVL, leur augmentant ainsi leurs chances de guérison. Sept patients auraient pu bénéficier de cette individualisation du traitement, malheureusement les résultats de leur charge virale, ont été remis tardivement à leur médecin traitant. C'est pourquoi il est impératif d'installer les outils virologiques nécessaires au suivi virologique des patients traités pour hépatite chronique C, au CHU de Constantine et ceci à proximité des services qui prenne en charge ces malades.en_US
dc.language.isofren_US
dc.publisherUniversité Constantine 3 Salah Boubnider, Faculté de médecineen_US
dc.subjectSuivi virologiqueen_US
dc.subjectCharge viraleen_US
dc.subjectGénotypeen_US
dc.subjectPatients traités pour hépatite chronique Cen_US
dc.subjectOptimisation thérapeutiqueen_US
dc.titleIntérêt du suivi virologique dans la prise en charge de l'hépatite chronique Cen_US
dc.typeThesisen_US
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