Please use this identifier to cite or link to this item: http://localhost:8080/xmlui/handle/123456789/4609
Title: Classification moléculaire des carcinomes mammaires étude retro et prospective sur 05 ans 2010-2014 au CHU Benbadis de Constantine
Authors: Ketit, Souad
Benahsene, Karima
Keywords: Classification moléculaire
Immunohistochimie
Cancer du sein
RH, HER2, Ki67
Issue Date: 2017
Publisher: Université Constantine 3 Salah Boubnider, Faculté de médecine
Abstract: Introduction Le cancer du sein représente une entité pathologique complexe et hétérogène, résultant de multiples altérations moléculaires. C'est le cancer le plus fréquent de la femme et représente la première cause de décès dans le monde. L'évaluation de l'expression des récepteurs hormonaux, de l'HER2 et du Ki67 est devenue indispensable pour la prise en charge des patientes atteintes d'un cancer du sein invasif; Une classification moléculaire de ce cancer a été établie par Sorlie et Perou pour mieux caractériser cette néoplasie. Le but de notre travail, est d'établir une classification moléculaire pour la série prospective et d'évaluer le profil d'expression des différents marqueurs immunohistochimiques pour la série rétrospective, d'étudier les corrélations entre eux puis avec les autres facteurs pronostiques, de comparer nos résultats avec ceux de la littérature et d'évaluer notre technique immunohistochimique. Matériel et méthodes Il s'agit d'une étude rétro et prospective portant sur 2022 cas de cancer du sein invasif colligés au laboratoire d'anatomie pathologique du CHU Benbadis de Constantine entre janvier 2010 et décembre 2014. Les anticorps étudiées sont : les récepteurs aux estrogènes et aux progestatifs, l'HER2, les CK5/6, et le Ki67. L'évaluation de ces différents marqueurs est réalisée par méthode immunohistochimique. Résultats Les RE sont exprimés dans 74 % des cas, les RP dans 69,70 % des cas, l'HER2 dans 23,30% des cas, les CK5/6 dans 82,70 % des cas et le Ki67 dans 70,60 % des cas. Parmi les 347 tumeurs analysées en perspective, 101 cas soit 30,10 % sont classés de phenotype Luminal A, 110 cas soit 32,70% de phénotype Luminal B, 73 cas soit 21,70 % de phenotype HER2 et 52 cas soit 15,50% de phénotype triple négatif. Conclusion Nos résultats concordent généralement avec ceux de la littérature et notre technique immunohistochimique a fait preuve de sa fiabilité. Cette étude a permis de ressortir le phenotype Luminal B comme un phénotype prédominant, ce qui constitue une particularité de notre étude. On a également noté que les tumeurs de phénotype HER2 et Basal sont associées à des caractéristiques histopathologiques plus agressives que les tumeurs de phenotype Luminal. Le développement des moyens d'étude moléculaire et la collaboration avec les différents services de notre CHU permettra de mieux comprendre certaines particularités de nos patientes.
Description: Version électronique indisponible
URI: http://localhost:8080/xmlui/handle/123456789/4609
Appears in Collections:Médecine / طب

Files in This Item:
File Description SizeFormat 
Ketit, Souad.pdf2.65 MBAdobe PDFView/Open


Items in DSpace are protected by copyright, with all rights reserved, unless otherwise indicated.