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dc.contributor.authorBouchemal, Manel-
dc.contributor.authorChaouche, Salah-
dc.date.accessioned2023-02-08T09:05:54Z-
dc.date.available2023-02-08T09:05:54Z-
dc.date.issued2021-
dc.identifier.urihttp://localhost:8080/xmlui/handle/123456789/184-
dc.description.abstractIl est de plus en plus admis qu’à travers le patrimoine bâti, les notions de bien commun, d’environnement, de durabilité, trouvent toute leur pertinence, puisque la démarche patrimoniale est fondée sur l'idée de bien commun et de transmission intergénérationnelle. En Algérie, la reconnaissance du patrimoine ksourien a débuté en 1968. Elle a été suivie par des mesures spécifiques, citées par la loi 98-04 relative à la protection du patrimoine culturel national. La patrimonialisation des sites, leur inscription sur la liste du patrimoine national, et les mesures de protection légales n’ont pas pu, à elles seules, garantir la préservation des ksour. Le constat sur terrain est alarmant; ces biens patrimoniaux, malgré toutes les opérations de conservation, sont abandonnées par leurs habitants, par conséquent, ils périclitent et tombent en ruine. L’absence de la mise en valeur touristique a aggravé la situation. A cet effet, le cas des ksour de Ouargla sont représentatifs à plus d’un égard. Malgré les efforts fournis par l’Etat et les habitants, représentés par le mouvement associatif pour la sauvegarde du patrimoine ksourien à travers les différentes opérations de réhabilitation qui n’ont touché, malheureusement, que le cadre physique, les ksour sont abandonnés de manière continue et risque de disparaitre. Rien n’a pu restituer l’âme aux ksour et maintenir les habitants en leur sein. La préservation doit s’inscrire judicieusement dans une stratégie de sauvegarde, qui permettra d’engager une réflexion sur les grandes orientations à donner à un optimum écotourisme pour une valorisation économique du patrimoine ksourien, dans une perspective d’avenir durable. Le patrimoine doit être davantage valorisé sous l’angle d’un développement territorial durable, en adéquation avec les questions essentielles, du renouveau des filières locales (culture constructives artisanat, matériaux), de l’éradication de la pauvreté, de la préservation de l’environnement, de l’écologie et du maintien de la diversité culturelle.en_US
dc.language.isofren_US
dc.publisherUniversité Constantine 3 Salah Boubnider, Faculté d’architecture et d’urbanismeen_US
dc.subjectOptimum écotourismeen_US
dc.subjectPatrimoineen_US
dc.subjectPatrimonialisationen_US
dc.subjectKsouren_US
dc.subjectSauvegardeen_US
dc.subjectValorisation économiqueen_US
dc.titleL’écotourisme, une alternative pour préserver le patrimoine des tissus anciensen_US
dc.title.alternativecas de la vallée de Oued Righen_US
dc.typeThesisen_US
Appears in Collections:Architecture et Urbanisme/ هندسة معمارية وتعمير

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