Patrimoine et identité collective. interprétation de la pratique des espaces publics nouveaux

Abstract

L’espace public, est un élément structurent d’une ville, ces par l’espace public que la ville s’organise, afin de permettre à ces habitons de s’épanouir, professionnellement et socialement, les places et placettes, rues et ruelles représentent des espaces géographiques qui par leur fonctionnalité, tisse un lien avec les individués et leurs groupes pour témoigner d’un vécu à travers le temps , qui aboutit à un certain moment à refléter une culture et un savoir vivre propre à ces individu et leur communauté. Les exigences contemporaines ont conduit à des expansions urbaines par la création de nouvelle ville que nous avons tenté de les décortiquer afin de comprendre la place des espaces publics et sur qu’elle base leur conception s’appuis et se réfère et sur tous comment les acteurs principaux les pratique sachons qu’ils sont porteur d’une identité urbaine. Notre travail à constater que les pouvoir publics en envisager et programmer des nouvelles villes avec beaucoup d’espoir et d’ambition, mais la réalité et autre, l’échantillon que nous avons pris comme sujet à révéler que, les espaces publics sont totalement en disfonctionnement avec la population, non seulement elle ne remplit pas leur fonction mai l’usager est en train de perdre la notion humaine et sociale de l’espace public ,pour luis l’espace public est une rue qui mène à la maison ou le travail, l’interaction social l’échange et sur tous l’encrage a un lieux est devenu exogène à leur sentiments. Le travail que nous avons entrepris en comparent deux type d’urbanité pour un même échantillon de population, à révéler qu’il ne faut pas négliger l’espace vécu et la pratique des lieux, c’est la meilleure référence pour la conception d’espace public, car l’identité collective elle est garante d’une conception qui pour crier la symbiose avec les sensations humaines, ces sensations qui ont été très bien stimuler le tissu urbain de la vielle ville. Il ne faut pas confondre entre identité urbaine et précarité du passai, car on n’invite pas à réaliser des espaces publics du dix-huitième siècle pour les l’individus et la communauté du vingt unième siècle. Non loin de sa mais de prendre les principes et fondement de ces espaces pour assise au nouvel espaces comme nous l’avons constaté au travaux réaliser à la place jean-Jaurès (chapitre I), ou la conservation de la population a permis à la place de reprendre son identité urbaine et à travers elle tous le centre-ville de Romans, si l’administrateur algérien a pris l‘effort de consulter les habitent de Constantine nous possèderions a la nouvelle ville ALI MENDJLI, des places comme la place de sidi jliss avec sa fontaine ou des jardin a l’image du square Benacer.