L’architecture cognitive pour un lieu de vie a cachet commercial

Abstract

Le centre commercial résultat d’une réponse à un besoin engendré par une activité aussi vieille que le monde est un élément architectural structurant la ville et son tissu urbain. Lieu à la fois conflictuel entre son cachet public et privé, il se veut prolongement de l’urbain. C’est cette optique qui fait le besoin de s’interroger sur la mobilité au sein de cet équipement et les mesures qui affectent de près ou de loin sa capacité à être franchissable et intelligible