Please use this identifier to cite or link to this item: http://localhost:8080/xmlui/handle/123456789/3133
Full metadata record
DC FieldValueLanguage
dc.contributor.authorTameur, Nouha Imene-
dc.contributor.authorDjeghar, Aicha-
dc.date.accessioned2023-04-24T09:28:02Z-
dc.date.available2023-04-24T09:28:02Z-
dc.date.issued2019-
dc.identifier.urihttp://localhost:8080/xmlui/handle/123456789/3133-
dc.description.abstractLes catastrophes naturelles résultent de la concrétisation du risque majeur naturels de manière soudaine et imprévisible. Ses conséquences sont souvent désastreuses. Elles sont très fréquentes et rendent les communautés et les pays très vulnérables. L’Algérie n’y échappe pas en cause de sa situation géographique. Après le séisme de 1980, l’Etat Algérien s’est engagé dans la prévention et la gestion des risques majeurs. Il s’est doté d’un cadre juridique afin d’organiser les secours et de prévenir les catastrophes à venir. Mais les inondations de 2001 et le séisme de 2003 ont remis en cause cette politique, la loi 04-20 du 25 Décembre 2004, relative à la prévention des risques majeurs et à la gestion des catastrophes dans le cadre du développement durable, a été votée mais pas les décrets. Ce n’est qu’après les inondations 2008, 2010 et 2011 et les dysfonctionnements qui ont accompagné la gestion des catastrophes que la loi 04-20 a été remise en cause, vu qu’elle n’a pas apporté de solutions aux dysfonctionnements qu’elle était censée y remédier. On lui reproche l’absence des décrets exécutifs qui assurent sa mise e œuvre sur le terrain (sa concrétisation). Dès lors c’est tout le cadre juridique et institutionnel qui est remis en question ; est-il pertinent ? Quelles sont les défaillances et les problèmes qui se posent dans la pratique ? C’est pour répondre à cette question que notre travail de recherche s’inscrit. Notre objectif était de tenter de mettre la lumière sur l’état de la prévention et de la gestion des risques majeurs en Algérie, en combinant le travail sur terrain (entrevues avec les différents acteurs de la gestion du risque) et une analyse des documents juridique existants : la loi 04-20 du 25 Décembre 2004, relative à la prévention des risques majeurs et à la gestion des catastrophes dans le cadre du développement durable et les décrets 85-231 et 85-232 relatifs la gestion des catastrophes et à la prévention des risques de catastrophes. En regroupant ces deux méthodes, on a relevé plusieurs dysfonctionnements au niveau de la prévention, de la gestion de crise et post crise : le manque de moyens, dispositifs de financements, les rôles mal définis, les intervenants non formés, l’absence d’informations (manque de cartes risques dans les documents d’urbanismes…)…etc. Au terme de ce travail, l’hypothèse de départ est affirmée. Toutefois, les résultats obtenus démontrent que le dysfonctionnement dans le cadre législatif et institutionnel, n’est qu’une partie du problème. En effet, c’est toute la politique nationale de prévention et de gestion du risque majeur qui est à remettre en cause.en_US
dc.language.isofren_US
dc.publisherUniversité Constantine 3 Salah Boubnider, Institut de gestion des techniques urbainesen_US
dc.subjectCatastrophesen_US
dc.subjectVulnérabilitéen_US
dc.subjectAléasen_US
dc.subjectRisque majeuren_US
dc.subjectInondationsen_US
dc.subjectLégislationen_US
dc.subjectCadre institutionnelen_US
dc.subjectGestion des risquesen_US
dc.subjectPlans ORSECen_US
dc.titleRisques majeurs naturels en Algérieen_US
dc.title.alternativeaspect juridique et institutionnel avec référence aux inondationsen_US
dc.typeOtheren_US
Appears in Collections:Gestion des techniques urbaines/ تسيير التقنيات الحضرية

Files in This Item:
File Description SizeFormat 
magTameur Nouha Imene.pdf11.18 MBAdobe PDFView/Open


Items in DSpace are protected by copyright, with all rights reserved, unless otherwise indicated.