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dc.contributor.authorYouh, Djamila-
dc.contributor.authorAiche, Messaoud-
dc.contributor.authorBiara, Ratiba Wided-
dc.date.accessioned2025-06-25T09:27:04Z-
dc.date.available2025-06-25T09:27:04Z-
dc.date.issued2025-
dc.identifier.urihttp://localhost:8080/xmlui/handle/123456789/6036-
dc.description.abstractL’ensemble régional «Saoura» immanent au Sahara algérien, se caractérise par l’aspect dunaire, parfois alluvial et, autrefois recouvert de Hamada et de regs, avec ici et là, une formation végétale sporadique adaptée au climat rude et à la sécheresse. Malgré ces contraintes, s’érigent des sites et des établissements humains où la vie est florissante, dont l’oasis de Bechar. A l’image de ses égales, l’oasis de Bechar reflète une architecture ingénieuse qui s’acclimate au contexte social et climatologique inhérent à cet ensemble régional. En effet, «le ksar» (Habitat), ce génie du lieu, répondait aux besoins socioculturels, et aux exigences imposées par leur contexte implacable. Cette présentation, a persisté durant une longue période jusqu’à ce que l’ordre colonial change complètement la logique de la production spatiale. Désormais, les emblèmes coloniaux faisant référence à la juridiction française sont incorporés dans la composition. Il s’agit de la régularité, du traitement de l’espace public et des relations inter quartiers. Relativement, en peu de temps, le paysage urbain subit une série de modifications dont la ville moderne (fondée sur une culture occidentale) émerge progressivement avec en apparence une volonté de réinterpréter l’architecture vernaculaire de la région. Aujourd’hui, de nombreuses réalisations, en quête d’identité ont vu le jour. Ces expressions hétérogènes, ont fait l’objet de nombreuses critiques d’errance stylistique par rapport au contexte et ne semblent pas être en mesure de produire une architecture à même de réinterpréter le paysage architectural de la Saoura et d’exprimerpar là une certaine identité architecturale. La présente recherche s’intéresse `a l’´evolution des formes architecturales de la Saoura (en particulier à Béchar), depuis la période coloniale (considérée comme une phase de transition entre l’architecture traditionnelle et celle postindépendance), jusqu’à nos jours. L’objectif étant de découvrir comment s’est opéré la réinterprétation et par quels moyens. Pour se faire, nous utiliserons une approche morphologique agrémentée d’une enquête in situ. Les résultats ont démontré que l’architecture de la période coloniale a su combiner une culture occidentale avec un contexte local ; même si la réinterprétation est restée superficielle et a touché principalement la forme extérieure des bâtiments. Alors que la production architecturale de l’Algérie indépendante est en crise et semble éprouver des difficultés à produire une architecture en relation avec le contexte de la Saoura. Cette production est inspirée plus par le style international ; ce qui explique l’excès de l’usage des matériaux énergivores comme le verre. Les résultats ont aussi montré, à travers les expériences internationales que la réinterprétation est possible à conditionqu’elle soit une priorité partagée par les différents acteurs de la ville en particulier de l’état, seul garant de la construction de l’identité.en_US
dc.language.isofren_US
dc.publisherUniversité Constantine 3 Salah Boubnider, Faculté d’architecture et d’urbanismeen_US
dc.subjectRéinterprétationen_US
dc.subjectArchitecture Ksourienneen_US
dc.subjectArchitecture néo-mauresqueen_US
dc.titleArchitecture de la Souraen_US
dc.title.alternativeanalyse typo morphologique, réinterprétation et enjeux d’identité régionaleen_US
dc.typeThesisen_US
Appears in Collections:Architecture et Urbanisme/ هندسة معمارية وتعمير

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