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http://localhost:8080/xmlui/handle/123456789/622
Full metadata record
DC Field | Value | Language |
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dc.contributor.author | Cherrad Mohammed, Mounir | - |
dc.contributor.author | Benabbas Kaghouche, Samia | - |
dc.date.accessioned | 2023-02-12T09:46:17Z | - |
dc.date.available | 2023-02-12T09:46:17Z | - |
dc.date.issued | 2016 | - |
dc.identifier.uri | http://localhost:8080/xmlui/handle/123456789/622 | - |
dc.description.abstract | L’Algérie, au lendemain de l’indépendance a commencé à construire son système de formation universitaire d’une manière presque ex nihilo. Celui-ci a été conditionné par les différentes politiques du pays ainsi que la croissance des effectifs estudiantins. Il s’est traduit par la multiplication et la dissémination des établissements universitaires à travers tout le pays. Contrairement à certains pays européens qui ont une histoire universitaire plus ancienne et qui de ce fait sont à la pointe du développement, le système universitaire algérien demeure encore un système à un seul niveau. Les villes étudiées, Constantine et Jijel, présentent des particularités dans le domaine universitaire. Dans la première, le fait universitaire est ancien et bien établi, alors que dans la seconde il est plus récent. Etant donné son potentiel universitaire composé de 4 universités, de 3 écoles supérieures et un centre de recherche, Constantine a noué des relations assez denses et diversifiées, par contre ne disposant que d’une seule université, Jijel n’entretient que des relations assez lâches. Les campus ont engendré plusieurs situations selon leur lieu d’implantation, dans le tissu urbain, à la périphérie de la ville ou en rase compagne, créant des organisations spatiales et fonctionnelles. Ils ont contribué à modifier les formes des villes. Les architectes ont utilisé plusieurs systèmes d’organisation spatio-fonctionnels en étant soit à l’avant garde d’un courant architectural, soit en s’inscrivant dans une perspective courante. Par conséquent l’architecture des campus est marquée soit par la singularité ou bien par le mimétisme par rapport à la ville. Le campus-type par son architecture et ses formes n’existe pas en raison de leur propre histoire, de leur processus d’élaboration. Les pratiques spatiales sont caractérisées en général par un comportement commun aux étudiants et enseignants des différents campus, mis à part certaines particularités. | en_US |
dc.language.iso | fr | en_US |
dc.publisher | Université Constantine 3 Salah Boubnider, Faculté d’architecture et d’urbanisme | en_US |
dc.subject | Utilisation de l’espace | en_US |
dc.subject | Style architectural | en_US |
dc.subject | Constantine | en_US |
dc.subject | Urbanisme | en_US |
dc.subject | Ville | en_US |
dc.subject | Organisation spatio-fonctionnelle | en_US |
dc.subject | Niveau unique | en_US |
dc.subject | Développement | en_US |
dc.title | Campus universitaires et territoires urbains | en_US |
dc.title.alternative | pour quelles formes de développement et d’intégration ? | en_US |
dc.type | Thesis | en_US |
Appears in Collections: | Architecture et Urbanisme/ هندسة معمارية وتعمير |
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CHERRAD Mohammed Mounir.pdf | 32.48 MB | Adobe PDF | View/Open |
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