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http://localhost:8080/xmlui/handle/123456789/845
Full metadata record
DC Field | Value | Language |
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dc.contributor.author | Djoudi, Aridj | - |
dc.contributor.author | Nait Amar, Nadra | - |
dc.date.accessioned | 2023-02-13T08:53:35Z | - |
dc.date.available | 2023-02-13T08:53:35Z | - |
dc.date.issued | 2022 | - |
dc.identifier.uri | http://localhost:8080/xmlui/handle/123456789/845 | - |
dc.description.abstract | On remarque que l’agriculture est diverse par ses formes, par ce qu’elle produit et il s’agit d’un potentiel qui est devenu presque négligé. Notre agriculture, en général, est notre ressource primordiale et il est plus que nécessaire de la réintégrer dans le développement de la ville. Cette pluralité de modes de production, qui ont chacun leurs avantages, sont des opportunités d’une requalification des espaces agricoles. Dans notre cas, l’intégration de l’agriculture urbaine suscite différentes problématiques et il sera nécessaire de comprendre et de résoudre ces problèmes avant d’intervenir. Naturellement, la ville ne peut pas être uniquement agricole ni uniquement urbaine il faut pouvoir adapter les deux milieux urbain et avoir un juste milieu. On peut alors soulever que l’agriculture urbaine est une possibilité de la ville de retrouver non seulement des relations à notre besoin nourricier mais aussi à la culture alimentaire locale qui, comme les théories énoncées, permettent de remettre cette question au centre et de donner un caractère végétal au cœur de la ville. Il s’agit aussi de proposer une certaine sécurité alimentaire lorsque l’agriculture urbaine est prise en compte et constitue une possibilité de création d’emplois qui selon les modèles de productions, et spécialement le nôtre qui sera un travail collectif. Naturellement, cette question de production et d’une économie est révélatrice de sa définition d’usage qui est de subvenir aux besoins alimentaires d’une communauté. Néanmoins, mis à part cette possibilité de rentabilité, on peut aussi considérer la valeur esthétique d’une certaine réinsertion des qualités de la végétation sur le paysage qui dépendra évidemment de type de production et donc de l’usage du territoire. De plus, il y a toute la partie d’après production qui, par exemple, par des initiatives à une échelle de la ville, permettent des relations et des échanges sociaux fondamentaux. On comprend que cette réintroduction de l’agriculture urbaine dans le développement de nos villes est une question beaucoup plus large que le simple fait de produire, mais n’est absolument pas un phénomène nouveau. | en_US |
dc.language.iso | fr | en_US |
dc.publisher | Université Constantine 3 Salah Boubnider, Faculté d’architecture et d’urbanisme | en_US |
dc.subject | Agriculture urbaine | en_US |
dc.subject | ferme collectives | en_US |
dc.subject | autosuffisance | en_US |
dc.subject | agrotourisme et attractivité | en_US |
dc.subject | durabilité | en_US |
dc.title | Reconversion d’une friche naturelle en exploitation agricole communautaire | en_US |
dc.title.alternative | Cas de la ferme Daif a Daksi Constantine | en_US |
dc.type | Other | en_US |
Appears in Collections: | Architecture et urbanisme/ هندسة معمارية وتعمير |
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Reconversion d’une friche naturelle en exploitation agricole communautaire.pdf | 306.7 kB | Adobe PDF | View/Open |
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